Photos Christophe Berthelot
14, 15 et 16 juin, l'aventure commence: tournage dans la boutique CAMARA place de l'étoile à Grenoble. William Laboury, le réal est très concentré.Premier contact aussi avec le fameux NIKON D90. L'APN tient ses promesses pour la qualité des images. L'utili
sation d'objectifs à focales fixes issus de boitiers argentiques offre un piqué remarquable. Un problème apparaît: en mode vidéo, le D90 ne permet pas d'accéder à la vitesse d'obturation ce qui cause un gros problème de flicker 
avec les éclairages fluos du magasin. Le moment de panique passé, une parade est trouvée: balayer le décor jusqu'à ce que la vitesse d'obturation choisie par le boitier devienne un multiple du 50hz. Ensuite il faut verrouiller le réglage et corriger l'exposition... C'est long et fastidieux. Autre problème: c'est l'été et le D90 chauffe (comme l'équipe d'ailleurs) et l'APN se met en sécurité > plus d'image et tout à refaire ! La patience est mise à rude épreuve mais le résultat semble en valoir la peine. Deux journées bien remplies et malgré les caprices du D90, de belles images dans la boite et une équipe qui fonctionne.
sation d'objectifs à focales fixes issus de boitiers argentiques offre un piqué remarquable. Un problème apparaît: en mode vidéo, le D90 ne permet pas d'accéder à la vitesse d'obturation ce qui cause un gros problème de flicker 
avec les éclairages fluos du magasin. Le moment de panique passé, une parade est trouvée: balayer le décor jusqu'à ce que la vitesse d'obturation choisie par le boitier devienne un multiple du 50hz. Ensuite il faut verrouiller le réglage et corriger l'exposition... C'est long et fastidieux. Autre problème: c'est l'été et le D90 chauffe (comme l'équipe d'ailleurs) et l'APN se met en sécurité > plus d'image et tout à refaire ! La patience est mise à rude épreuve mais le résultat semble en valoir la peine. Deux journées bien remplies et malgré les caprices du D90, de belles images dans la boite et une équipe qui fonctionne.
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